"La nature est ce que nous léguons aux générations futures ; aurions-nous aimer voir une planète Terre polluée, certainement que non." Albert Enstein
samedi 22 mai 2010
Qu'est-ce que la biodiversité?
Maintenant on nous parle beaucoup de la biodiversité, mais, sait on vraiment ce que c’est ? Dans cet article vous allez pouvoir lire ce que signifie le mot biodiversité et celui-ci implique. De plus l’année 2010 est l’année de la biodiversité et je profite de ce moment pour vous l’expliquer. (4)
2010 est l’Année internationale de la biodiversité. En octobre prochain, des représentants de presque toutes les nations du monde se réuniront au Japon dans le cadre de la Convention sur la diversité biologique. Ils aborderont notamment la question de la cible 2010 pour la biodiversité, accord conclu il y a huit ans pour essayer de mettre un terme à l’appauvrissement de la biodiversité à l’horizon 2010 – un objectif qui, nous le savons, n’a pas été atteint. Mais combien de personnes, même parmi celles qui se rencontreront au Japon, comprennent vraiment la biodiversité ? Qu’est-ce que c’est ? Peut-on la mesurer ? Est-ce vraiment grave qu’elle disparaisse, ne serait-ce qu’en partie ? Et que se passera-t-il si c’est le cas ? (1)
La diversité biologique (biodiversité) s'exprime à trois niveaux :
1. La diversité génétique :
Elle détermine le caractère unique de chaque individu à l’intérieur de chaque espèce : tout organisme est génétiquement différent des autres (je suis différent de mon voisin). Les races animales et les variétés végétales par exemple témoignent de cette diversité, indispensable à l'évolution du vivant.
2. La diversité spécifique :
c’est la diversité des espèces dans une zone donnée. Une espèce est composée d’individus capables de se reproduire entre eux et dont la descendance est fertile. Cette diversité s’entend généralement en termes de grandes variétés de plantes, d’animaux et de micro-organismes. À l’heure actuelle, entre 1,4 à 1,8 millions d’espèces ont été identifiées mais on estime qu'il en existe 5 à 100 millions (essentiellement des micro-organismes et des invertébrés, tels les insectes).
3. La diversité écologique (ou écosystémique) :
c’est l’ensemble des milieux (mers, forêts, zones humides…) qui abritent différentes espèces animales et végétales, dont certaines peuvent être peuvent être particulières à un lieu donné. Dans chaque milieu, les êtres vivants, y compris les êtres humains, forment un tout et interagissent, les uns avec les autres, mais aussi avec l’air, l’eau et le sol, formant ce que l'on appelle un écosystème. (2)
La préservation de la biodiversité constitue, avec le réchauffement
climatique et l'épuisement des énergies fossiles, l'un des grands enjeux auxquels nous sommes confrontés. Car la vie de nos enfants, celle des générations futures dépend de notre capacité à agir maintenant, et de l'efficacité des actions mises en oeuvre. Face aux enjeux économiques et sociaux, l'extinction d'une espèce peu apparaître mineure. C'est ignorer les « bénéfices » que les sociétés tirent de la biodiversité à travers les ressources, les usages qu'elle offre dans de nombreux domaines (alimentation, santé, industrie, loisirs). C'est méconnaître le temps nécessaire à l'émergence de nouvelles espèces : des milliers d'années... Il ne peut donc y avoir de
«développement durable» sans préservation de la biodiversité. (3)
En conlusion, la biodiversité est très importante pour nous et on doit la sauver. Pour garder la biodiversité on a crée des parcs naturels et des réserves naturelles. (4)
(1)Bibliographie :
Nom de l’auteur : ?
Titre de la page : Pourquoi la biodiversité est importante
Titre du document : ?
Consultation : 21/05/10
Disponible : http://www.ourplanet.com/tunza/8.1/fr/Tunza_8.1_Fr_4-5Biodiversite.pdf
(2)Bibliographie :
Nom de l’auteur : La fédération des associations de protection de la nature et de l’environnement
Titre de la page : Développement durable
Titre du document : La biodiversité, qu’est-ce que c’est ?
Consultation : 22/05/10
Disponible : http://www.fne.asso.fr/fr/themes/question.html?View=entry&
EntryID=121
(3)Bibliographie :
Nom de l’auteur : RESEAU DES GESTIONNAIRES DES RESERVES NATURELLES NATIONALES DE BASSE-NORMANDIE
Titre de la page : La préservation de la biodiversité... une urgence
Titre du document : RÉSERVES NATURELLES DE BASSE-NORMANDIE
Consultation : 22/05/10
Disponible : http://www.basse-normandie.ecologie.gouv.fr/iso_album/lettre_rn_2.pdf
(4) Conclusion et introduction personelles
PHOTO DISPONIBLE SUR : http://www.af.ca/halifax/sciences/ConservationBiodiversite/moz.jpg
Problémes et Solutions pour conserver la biodiversité
On sait maintenant( grâce à l´article précédent ) qu' est-ce que la biodiversité mais il est plus important de savoir comment la préserver car, de nos jours elle se voit menacée et réduite surtout à cause des activités humaines. Ces activités nuisent à la consevation de cette diversité d´espéces.
P.Un des facteurs qui influent, surtout sur la biodiversité marine est la pêche intensive, aussi connue comme surpêche. On sait que l´alimentation humaine est basée surtout sur une diéte contenant des protéines animales, parmis lequelles se trouvent celles provenant des poissons. Les hommes en pêchent ceux dans la chair est riche en protéines très digestes, en acides gras (omega 3, oligo-éléments). Ces derniéres années la consommation humaine en protéines d´origine animale s´accroît. Comme conséquence de celà, des centaines de milliers d´exemplaires de diverses espéces ont été abbatus, ceci nous méne peu à peu à la disparition de plusieures espéces. Les océans ont étés considérés comme inepuisables alors qu´ils sont fragiles ainsi que leurs ecosystémes, faciles à dérégler.
S :Une des solutions à ce probléme croissant est l´aquaculture, qui est une culture artificielle, crée par l´homme pour l´élévage de poissons hors de la mer.
Ces techniques se sont développées ce qui a permis que, de nos jours qu´un 40% des espéces que nous consommons soient produites grâce a ces `procédés, seulement, ces élévages intensifs ont également des effets négatifs sur le milieu marin. Des pratiques plus respectueuses de l´environnement comme l´aquaculture biologique doivent être envisagées.
P : De nos jours, la destruction et la surexploitation de certains milieux, sont des problémes auquels ont doit faire face. L´augmentation constante de la population mondiale et les besoins alimentaires toujours plus grands ont poussé les hommes à détruire les fôrêts naturelles pour en faire des terres agricoles, en detruyant ainsi les éspéces qui y trouvaient des conditions favorables à leur vie. Cette activité contribue à modifié les équilibres naturels et à réduire la biodiversité à l´échelle mondiale. La destruction des ecosystémes forestiers a encore lieu aujourd´hui dans les zones tropicales et menace les derniéres forêts naturelles.
S : Pour éviter cette déforestation intensive si dangereuse, avec la surexploitation de certains milieux, la protection de sertains territoires peut-être envisagée afin de freiner l´apauvrissement de la biodiversité. Différentes structures existent dans ce but comme les parc nationaux, qui permettent la conservation de la faune, de la flaure, du sol, de l´athmosphére et de l´eau. Ils protégent des milieux de tout effet de dégradation naturelle et « à toute toute intervention artificielle susceptible d´en altére l´aspect, la composition et l´évolution ». Il y a très peu qu´est né un terme nommé « l´écotourisme » qui participe à la protection du patrimoine naturel. Les touristes sont ainsi sensibilisés aux richesse de la floe et la faune aat évitent de perturber les mullieux naturels.
P : Le défi actuel de l´agriculture moderne est de produire de tout en préservant des espéces présentes dans le milieu. L´esprit de consommation, est en soit un obstacle a cette conservation( l´homme assure 50% de ses besoins alimentaires avec seulement quatre spéces : le blé, le riz, le maïs et la pomme de terre). Il ságit des méthodes de l´agriculture traditionnelle qui posent probléme, ils emploient des méthodes affaiblissant la biodiversité comme des monocultures ou l´usage de pesticides. L´alimentation de l´homme est trés peu diversifié donc il se charge de réduire la variété des plantes cultivées.
S : Pour lutter contre cette réduction de la variété d´espéces liée à l´agriculture traditionnelle, l´agriculture biologique mais aussi l´agriculture de précision peuvent être des solutions. L´agriculture de précision permet de de faire une gestion d´une parcelle en apportant des éléments nutritifs aux plantes au plus près de leurs besoins. Cette pratique réduit la quantité d´engrais et pesticides, ce qui est bénéfique pour le milieu naturel. En ce qui concerne l´agriculture biologique, elle préserve les sols, les équilibres naturels entre les proies et les predateurs et favorise la lutte raisonnée contre les parasites. Parallélement, les consommateurs peuvent privilégier des comportements compatibles avec la préservation de la biodiversité.
Je conclus que des décison et des modes de production plus respectueux envers l´environnement ainsiq eu le changement de comportement des sonsommateurs peuvent limiter l´impact de l´être humain sur le maintien de la biodiversité dans le monde.
Bibliographie:
Ecrit par: Davis Boutigny, François Coutarel., Bernard Espigat, Éric Le Bris, Pierre-François Roche, Laurence Sutter
Titre de l’ouvrage:SVT programme 2008- 3éME
Lieu de publication: France
Éditeur:Élisabeth Épinard
Année d’édition:Janvier 2009
Nombre de pages:254
Photo disponible sur:http://www.agoravox.fr/local/cache-vignettes/L500xH500/biodiversite-e2c89.jpg
vendredi 30 avril 2010
Une course pour l’espérance
Qu’est-ce que la course contre la faim? C’est une course pour l’espérance, l’espérance de que l’année prochaine on aura moins de personnes, enfants qui meurent de faim. On aidera les pays pauvres en courant. On peut courir et on peut le faire pour une bonne action. On le fera pour ses personnes qui ont besoin de nous : des victimes de guerres ou catastrophes, des gens qui ne mangent pas à leur faim,... On s’engage à courir pour eux, pour leur vies, pour leurs nouvelles espérances... Ceci est un effort qu’on fait pour aider les autres. Chacun va courir ce qu’il peut, ce sera suffisant soit long ou court car comme ça on va arriver à notre objectif : vivre dans un monde meilleur. Viens, cours avec nous, tous avec nos efforts on y arrivera. Chaque année un peu plus proche de notre objectif.
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On a dépassé la barrière
En 2009 on dépassé la barrière de mil millions de personnes qui souffre de sous nutrition. Selon les études de la FAO, mil vingt millions est le montant de personnes qui ne mangent pas à sa faim dans le monde (rapport 2009). Cette quantité supère en cent millions celle de l’année précédente et implique que une de chaque six a faim dans le monde.
En 2009, 53 millions de personnes plus qu’en 2008 on superé le seuil de pauvreté en Amérique Latine et Caraïbes. En Asie et Pacifique se furent 642 millions, 265 millions en Afrique Subsaharienne, 42 millions en Moyen Orient et Afrique du Nord et 15 millions dans les pays développés.
Les deux pays les plus affectés sont la République Démocratique du Congo et Eritrea qui ont 75% et 66% respectivement d’habitants qui ont faim.
Cette situation mondiale est du à deux facteurs : la crise financière internationale et l’augmentation des prix de la nourriture.
Cette année, du à l’incertitude de l’évolution de la crise économique mondiale avec des prix très hauts même dans les pays développés, on croit que le nombre de victimes dues à la faim, augmente un 11% plus ou moins (selon la FAO).
Quelques pays en développement ont deux problèmes : l’aide internationales a diminué et les immigrants envoient chez eux moins d’argent du à la situation difficile dans les pays développés qui souffrent la crise économique.
Cependant, l’année 2010 est l’année internationale de la lutte contre la pauvreté en Europe. Le projet européen sollicite une actuation solidaire et un compromis de la part de tous pour aider à finir avec ce mal dans le monde.
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jeudi 15 avril 2010
Notre consommation
Actuellement, la consommation est excessive. On consomme beaucoup trop; on achète même des choses qui vont nous être inserviables. On s’est accoutumés à acheter tout ce que l’on veut, au moment ou l’on veut...
Cette consommation pouvant être amélioré, DOIT changer. Il y a des manière plus environnementales d’acheter des produits alimentaires, etc. (4)
Des habitudes de consommation environnementales
· Avant d'acheter un article, prenez le temps de vous demander si vous en avez réellement besoin. La réduction à la source constitue le meilleur moyen de prévenir la production de déchets. Vous épargnerez de l'argent et diminuerez la quantité de déchets produits.
· Évitez les produits suremballés qui produisent des déchets inutiles.
· Lors de l'achat de gros appareils ménagers, vérifiez l'étiquette Énerguide et choisissez ceux qui consomment le moins d'énergie.
· Achetez des sacs en tissu réutilisables pour faire vos emplettes ou apportez vos vieux sacs de plastique plutôt que d'en utiliser de nouveaux à chaque fois.
· Achetez des produits qui sont bien fabriqués et durables.
· Achetez des produits faits de matières recyclées afin de ménager nos ressources naturelles et d'ouvrir des marchés pour les produits recyclés.
· Songez, lors de vos prochains travaux, à acheter de la peinture écologique faite de peinture recyclée. Moins toxique, vous encouragerez également la récupération de peinture.
· Faites l'achat de produits ménagers écologiques (ex. savon biodégradable)
· À qualité égale, favorisez les produits faits localement. Cela réduit la consommation de carburant et la pollution provenant du transport à longue distance des marchandises.
· Essayez les produits biologiques. Meilleurs au goût et pour la santé, ils ont été cultivés dans un souci de préservation de l'environnement. Il est possible de s'approvisionner directement auprès de producteurs de la région, notamment via le réseau d'agriculture soutenue par la communauté.
· Lorsque possible, achetez des produits équitables. Ces produits garantissent un juste prix au producteur et des conditions décentes pour les travailleurs.
· Réduisez votre consommation de viande en la substituant par des noix, des légumineuses, davantage de légumes, etc. Non seulement vous varierez votre alimentation, mais vous aiderez également à la protection de l'environnement. L'élevage de bétail consomme de nombreuses ressources, contribue à la déforestation et au réchauffement climatique. (1)
Aides d’urgence :
L’aide d’urgence constitue un outil privilégié permettant d’apporter rapidement une aide financière personnalisée, ponctuelle ou pour la durée de l’année universitaire, à l’étudiant en difficulté. L’aide d’urgence peut revêtir deux formes :
· soit une aide ponctuelle en faveur de l’étudiant qui rencontre momentanément de graves difficultés,
· soit une aide annuelle accordée à l’étudiant qui rencontre des difficultés pérennes.
L’âge limite pour bénéficier d’une aide d’urgence est fixé à 35 ans, y compris pour les étudiants en reprise d’études. (2)
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Aides au développement :
L'aide au développement désigne une action volontaire par un acteur extérieur pour impulser le développement d'un pays tiers (Pays en développement). Les conceptions du développement sont nombreuses, les formes de l'aide le sont tout autant. (3)
LIRE LA SUITE
Une aide au développement est donc une aide au développement d’un pays du tiers monde tandis qu’une aide d’urgence est une aide ponctuelle à un pays qui a besoin d’aide avec urgence.(4)
(1)Bibliographie :
Nom de l’auteur : Montréal
Titre de la page : Développement durable
Titre du document : Des habitudes de consommation environnementales
Consultation : 14/04/10
Disponible : http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=736,4732211&_dad=portal&_schema=PORTAL
(2)Bibliographie :
Nom de l’auteur : Les services de la vie étudiante
Titre de la page : Aides d’urgence
Titre du document : L’aide d’urgence
Consultation : 15/04/10
Disponible : http://www.cnous.fr/_vie_268.htm
(3)Bibliographie :
Nom de l’auteur : Sensagent
Titre de la page : Aides au développement
Titre du document : Aide au développement
Consultation : 15/04/10
Disponible : http://dictionnaire.sensagent.com/aide+au+d%C3%A9veloppement/fr-fr/
(4) Introduction et conclusion personelles
PHOTO DISPONIBLE SUR : http://www.autosuficiencia.com.ar/imagenes/Consumo%20responsable.jpg
mercredi 14 avril 2010
Conclusion
(5)Même dans les pays riches, on est surpris de constater que la malnutrition existe encore, malgré tous les programmes sociaux, parmi les exclus : au total, neuf millions d’habitants des pays industrialisés ont faim ; c’est aussi le cas de 25 millions dans les pays dits « en transition ». La famine va de pair avec le sous-développement : elle recule fortement là où la croissance est importante, comme en Chine, en Asie du Sud-est, et en Amérique Latine. Dans mon enfance, il était courant de dire : « mange ta soupe, pense aux petits Chinois qui ont faim ! ». Aujourd’hui, seules les zones rurales les plus reculées de la Chine connaissent la faim. A l’inverse, les régions affamées s’identifient largement aux zones les plus en retard dans la voie du développement, en grande partie à l’Afrique Noire (en 15 ans, le nombre de personnes sous-alimentées s’est accru de 12 % en Afrique de l’Est et de 25 % en Afrique Centrale), mais aussi certains pays du Proche et Moyen Orient (y compris le Pakistan), ou de l’arc andin en Amérique du Sud et quelques pays d’Asie Orientale. (1)La faim est un attentat contre l'être humain. Elle est causée par des raisons structurelles et conjoncturelles. Elle a été présente dans toute l'histoire de la terre. Nous pouvons aider à la combattre en faisant des dons mais aussi en essayant de changer le monde. LIRE RESTE DU DOSSIER
(2)Ce problème majeur, ravageur et destructeur ne devrait plus subsister de nos jours, ni dans les pays développés ou les droits de l’homme sont pourtant si bien défendus ni dans les pays sous-développés ou en voie de développement ou ces droits sont malheureusement trop souvent erronés. Les causes cette injustice mondiale, sont soient naturelles (conjoncturelles), soit issues de l’homme lui-même (structurelles). Dans ce cas le problème est très complexe et il semble presque impossible de le résoudre complètement (ce à quoi aucun pays n’est encore parvenu).
LIRE LA SUITE
Mais voilà que tout n´est pas si négatif :
(3)Jamais nous n’avons été aussi proches d’une victoire sur la faim dans le monde. Les avancées de la science et du progrès technique pourraient permettre d’ici à quelques années à tous les habitants de la terre de pouvoir manger à leur faim. Notre planète nous offre suffisamment de ressources pour que tous disposent de nourriture en quantité suffisante. Il y a assez de place pour tout le monde.
Voilà qui peut sembler bien optimiste à beaucoup, la FAO ayant récemment déclaré qu’un sixième de la population mondiale souffre de la faim. C’est à dire un milliard d’êtres humains; un être humain sur six. Pour savoir comment se peut-il, il te faut LIRE LA SUITE DE L´ARTICLE.
(6)Il est désormais attesté que des progrès rapides peuvent être accomplis dans la réduction de la faim en utilisant une approche sur deux fronts qui s’attaque à la fois aux causes et aux conséquences de la pauvreté extrême et de la faim. Le premier volet porte sur des interventions visant à améliorer les disponibilités vivrières et les revenus des pauvres en renforçant leurs activités productives. Le deuxième volet est axé sur des programmes ciblés qui offrent aux familles les plus vulnérables un accès direct et immédiat à la nourriture.
Parallèlement, le système alimentaire mondial requiert une meilleure gouvernance à l’échelle nationale et internationale. Dans les pays victimes d’insécurité alimentaire, les institutions doivent s’appuyer sur les principes du Droit à une alimentation suffisante fondés sur la transparence et l’obligation redditionnelle, l’autonomisation des populations pauvres et leur participation aux décisions les concernant.
(4) Le rapport 2001 du Programme des Nations unies sur le développement humain (PNUD) présente les biotechnologies comme étant la solution au problème de malnutrition dans le monde. Est-ce vraiment la solution ?
Le développement de l’agriculture durable plutôt que le recours aux organismes génétiquement modifiés (OGM), pour nourrir ceux qui ont faim, est sans doute une meilleure avenue. C’est d’ailleurs la conclusion à laquelle arrive une autre étude. Ce rapport scientifique, intitulé Réduire la pauvreté alimentaire par l’agriculture durable, a été rédigé par deux chercheurs de l’Université d’Essex, en Grande-Bretagne, qui proposent des moyens concrets pour développer l’agriculture durable dans les pays en voie de développement. Les auteurs ont évalué plus de 208 projets qui ont cours dans 52 pays et affirment que ces initiatives sont plus prometteuses que les OGM comme remède.
L’agriculture durable intègre aux procédés de production alimentaire des processus naturels et régénérateurs comme les cycles nutritifs, la fixation de l’azote, la reconstitution des sols et les ennemis naturels des ravageurs. Elle réduit au minimum les insecticides et engrais tout en faisant.(7) On peut certes également discuter des biocarburants et des régimes alimentaires carnés si peu durables, mais dix-huit mois après le sommet de la crise, il apparaît évident que les prix des matières premières agricoles ne devraient pas durablement baisser (ils restent assez élevés). Si les problèmes agricoles ne font plus la Une de l’actualité, la banque mondiale et les dirigeants politiques semblent avoirmalgré tout retenu la leçon: selon Jacques Diouf, patron de la FAO, la part de l’agriculture dans l’aide publique au développement est passée de 3% à 5% en deux ans. Une (petite) bonne nouvelle si elle se confirme. (2)Mais il ne faut pas pour autant baisser les bras, car la passivité est vraiment la dernière chose qui permettrait de le résoudre. Au contraire : il est donc important de lutter contre les inégalités qui existent de nos jours et qui risquent, malgré la mobilisation de nombreuses personnes qui ont pris conscience du problème, de continuer à hanter la planète pendant encore longtemps.
Il ne s´agit pourtant pas de faire n´importe quoi, prenant comme exemple :
(1) En 1996, à Rome, lors du Sommet mondial de l'alimentation, les dirigeants de 186 pays se sont engagés à réduire de moitié le nombre d'individus sous-alimentés d'ici 2015. C'est le principal objectif fixé. Aujourd'hui, il y a en moyenne une réduction d'environ 8 millions de victimes de la faim par année. Cette réduction doit être accélérée pour obtenir l'objectif fixé, car il faut parvenir à une diminution d'au moins 20 millions par an. Mais, savez-vous qu'en 1974 pendant le World Food Survey, la FAO (Food and Agriculture Organization) déclarait : « Dans 10 ans, sur cette terre, aucun homme, aucune femme, aucun enfant n'irait au lit le ventre vide ». Cette promesse ne put se réaliser, car, au contraire le nombre d'affamés augmenta.
Á niveau scolaire:
Ce dossier à été élaboré dans un but précis qui n´est autre que de compléter et de nous mettre de tout notre coeur dans la collaboration avec l´organisation Aide et Action qui organise la course contre la faim chaque année dans de nombreux centres scolaires. Cette année notre lycée participe à nouveau mais, comme on a précisé auparavant il ne suffit pas d´une action pour se laver les mains... il en faudra une suite, entre tous, on y arrivera.
(1)Bibliographie :
Nom de l’auteur : Lucia Cisneros
Titre de la page : La faim dans le monde
Titre du document : Aide internationale
Consultation : 14/04/10
Disponible : http://pages.infinit.net/cybersoc/faim/pagecadre.htm
(2)Bibliographie :
Nom de l’auteur : non mentionné
Titre de la page : RV.fr
Titre du document : La faim dans le monde(8) Conclusion
Consultation : 14/04/10
Disponible : http://www.rvweb.fr/index.php?2001/12/14/11-la-faim-dans-le-monde-7
(3)Bibliographie :
Nom de l’auteur : Zeit-Fragen
Titre de la page : Tlaxcala, le reseau des traducteurs pour la diversité linguistique
Titre du document : Comment vaincre la faim- Tirer les conséquences du Rapport mondial sur l’agriculture
Consultation : 14/04/10
Disponible : http://www.tlaxcala.es/pp.asp?reference=8125&lg=fr
(4)Bibliographie :
Nom de l’auteur :Clôde de Guise
Titre de la page :Le journal des alternatives
Titre du document : Il y a d autres solutions à la faim dans le monde !
Consultation : 14/04/10
Disponible : http://www.alternatives.ca/fra/journal-alternatives/publications/archives/2002/volume-09-no-01/article/il-y-a-d-autres-solutions-a-la?lang=fr
(5)Bibliographie :
Nom de l’auteur :Philippe Jurgensen
Titre de la page : Canal Académie
Titre du document : La faim dans le monde
Consultation : 14/04/10
Disponible : http://www.canalacademie.com/ida1255-La-faim-dans-le-monde.html
(6)Bibliographie :
Nom de l’auteur : Membres de la FAO
Titre de la page : Organisation des Nations Unies pour l´alimentation et l´agriculture
Titre du document : Comment peut-on attenuer la faim ?
Consultation : 14/04/10
Disponible : http://www.fao.org/hunger/foire-aux-questions/fr/#c41481
(7)Bibliographie :
Nom de l’auteur :Redacteur en chef du quotidien « Le Monde »
Titre de la page : L´eco buissonniére
Titre du document :Davos et la faim dans le monde
Consultation : 14/04/10
Disponible : http://lemaitre.blog.lemonde.fr/2010/01/29/davos-et-la-faim-dans-le-monde/
Bibliographie photo enfant:
Titre de la page : Gamekult
Titre du document : gachi...
Consultation : 14/04/10
Disponible : http://www.google.es/imgres?imgurl=http://img48.imageshack.us/img48/5886/081nn3.jpg&imgrefurl=http://www.gamekult.com/blog/glustar/34416/gachi.html&usg=__KsnNgDuyaOUNDtuUjfC_8MFqs4=&h=320&w=239&sz=32&hl=es&start=11&itbs=1&tbnid=serKcGC4YSV7BM:&tbnh=118&tbnw=88&prev=/images%3Fq%3Dfaim%2Bdans%2Ble%2Bmonde%26hl%3Des%26gbv%3D2%26tbs%3Disch:1
Bibliographie photo ogm :
Titre de la page :Agir ensemble
Titre du document : OGM – Le vœux du Conseil général du Gers validé par le Conseil d’Etat
Consultation :14/04/10
Disponible : http://www.google.es/imgres?imgurl=http://bbcom21.files.wordpress.com/2010/01/ogm_non_.gif&imgrefurl=http://bbcom21.wordpress.com/2010/01/06/ogm-le-voeux-du-conseil-general-du-gers-valide-par-le-conseil-d%25E2%2580%2599etat/&usg=__OL3-ZWAOSR6ZBVqcMPwggXxkP7k=&h=300&w=300&sz=24&hl=es&start=1&itbs=1&tbnid=z3zu8wzFBgIqSM:&tbnh=116&tbnw=116&prev=/images%3Fq%3Dogm%2Bnon%26hl%3Des%26gbv%3D2%26tbs%3Disch:1
Bibliographie photo aide faim :
Titre de la page : Voici quelques unes des dernières campagnes que j'ai recensées sur le web avec quelques fois les explications des annonceurs...
Titre du document : " On ne s'improvise pas humanitaire "
Consultation :14 /04/10
Disponible : http://stephanie.dupont3.free.fr/acf_camp2003_orig.jpg
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