Aidons!

Urgence Pakistan

samedi 28 novembre 2009

Le changement climatique



(1)La hausse des températures moyennes à la surface du globe est la première conséquence attendue et constatée des émissions massives de gaz à effet de serre. Or, les relévés météo enregistrent des anomalies positives de températures qui se confirment d'années en années par rapport aux températures enregistrées depuis le milieu du XIXème siècle...

(2)Le changement climatique fait peser de nombreux risques sur notre planète :
Multiplication des catastrophes climatiques (canicule, inondations, tempêtes…) ;
Montée des eaux qui menace de disparition certains territoires et provoquera l’exode des milliers de « réfugiés climatiques » ;
Menace sur la faune et la flore et multiplication des catastrophes alimentaires et sanitaires.
Les fausses solutions que sont l’énergie nucléaire (polluante, dangereuse et proliférante) ou les agrocarburants et les mauvaises orientations comme le « tout autoroute » sont destinées à soutenir un modèle de développement dévastateur. Elles détournent des financements qui devraient être affectés à la promotion des économies d’énergie, de l’efficacité énergétique et des énergies renouvelables !


(3)Conséquences climatiques: Le réchauffement climatique devrait produire d'autres changements :– retrait des glaciers,– fonte de la banquise,– élévation du niveau moyen des océans,– modification des régimes de précipitations pouvant entraîner inondations et sécheresses,– augmentation de la fréquence et de l'intensité des événements climatiques extrêmes comme les ouragans ou les cyclones,– modification de la circulation de courants marins comme le Gulf Stream et la dérive nord-Atlantique qui pourrait conduire au refroidissement de certaines régions (Ouest de l’Europe,…).Une part de ces changements a déjà commencé et peut être reliée au réchauffement climatique. C'est en particulier le cas de la fonte des glaciers (voir visuel 1).Ces changements climatiques vont évidemment avoir des conséquences sur la faune et la flore. On prévoit qu'un nombre important d'espèces risque de disparaître (voir visuel 2).
Conséquences humaines: Outre l'augmentation des catastrophes naturelles, les rendements agricoles pourraient être modifiés et les zones de présence des vecteurs de maladies comme le choléra ou le paludisme pourraient s’élargir. De nombreuses populations en croissance qui vivent dans des zones tropicales pourraient en particulier être affectées par le changement climatique. D'autres populations pourraient être déplacées suite à la montée des eaux.Des peuples pourraient avoir leur mode de vie modifié comme ces Inuits de Kuujjuaq (nord du Canada) dont le maire, Larry Watt, a commandé des climatiseurs en juin 2006 après que la température eut atteint 31 °C !
Conséquences économiques: Les calculs de l'impact économique du réchauffement climatique sont très difficiles à effectuer. Certains économistes parlent d'un coût de deux euros par tonne de carbone, tandis que d'autres évoquent 50 euros. Parmi les chiffres avancés, on estime que le réchauffement climatique pourrait coûter jusqu'à 1 point de croissance. On notera que les banques, les assurances, les agriculteurs et les pays en voie de développement sont les plus exposés. En fonction de l'adaptation de l'économie, des organisations politiques et d'éventuelles révolutions technologiques déclenchées par le changement climatique, il n'est toutefois pas interdit d'être plus optimiste.Quelques conséquences positivesDéjà, le réchauffement climatique commence à pousser les gouvernements à s'entendre pour lutter contre un problème qui les concerne tous, ce qui en soi est assez inédit. Le réchauffement climatique et les problèmes liés à l'énergie ont également tendance à accélérer la prise de conscience individuelle et politique de l'impact de l'activité humaine sur l'environnement. Ils incitent au développement de solutions technologiques innovantes. D'autres conséquences plus ponctuelles prévues sont :– une plus faible mortalité hivernale dans les zones tempérées,– une augmentation de la production de bois,– une hausse des rendements agricoles dans les zones tempérées,– un accroissement des ressources en eau dans certaines zones sèches proches des tropiques,– une baisse des consommations d'énergie pour se chauffer (mais une augmentation de celles nécessaires à la climatisation).

Le changement climatique est une chose qui nous concerne tous. On devrait y prendre, au moins, conscience.



(1)Bibliographie :
Nom de l’auteur : notre-planète.info
Titre de la page : Changement climatique : un constat alarmant
Titre du document : Réchauffement de la planète
Consultation : 20/11/09
Disponible : http://www.notre-planete.info/geographie/climatologie_meteo/changement_1.php


(2)Bibliographie :
Nom de l’auteur : action conso
Titre de la page : Journée mondiale du climat
Titre du document : Le samedi 8 décembre à 14h, Paris Place du Chatelet
Consultation : 20/11/09
Disponible : http://www.actionconsommation.org/publication/Journee-mondiale-du-climat.html


(3)Bibliographie :
Nom de l’auteur : DOSSIERS
Titre de la page : Quesque le réchauffement climatique ?
Titre du document : Les conséquences du réchauffement climatique
Consultation : 28/11/09
Disponible : http://www.planete-energies.com/contenu/7_11_6_consequences.html

mercredi 25 novembre 2009

La journée mondiale du climat


De nos jours, le changement climatique est un probléme quotidien duquel tous nous sommes responsables puisque le seul fait de choisir un transport ou un autre peut avoir des conséquences incroyables sur ce phénoméne. Comme ce n´est plus une excuse de ne pas éter informé(e)s voyant ce que l´on peut faire
(1)Le changement climatique fait peser de nombreux risques sur notre planète :
° Multiplication des catastrophes climatiques (canicule, inondations, tempêtes…) ;
° Montée des eaux qui menace de disparition certains territoires et provoquera l’exode des milliers de « réfugiés climatiques » ;
° Menace sur la faune et la flore et multiplication des catastrophes alimentaires et sanitaires
(2)Chaque année, le 23mars, l’Organisation météorologique mondiale, ses 188Membres et la communauté météorologique tout entière célèbrent la Journée météorologique mondiale autour d’un thème particulier. Cette Journée commémore l’entrée en vigueur, le 23 mars 1950, de la Convention de l’OMM portant création de l’Organisation. L’OMM est devenue une institution spécialisée du système des Nations Unies en 1951.
Cette année, la Journée météorologique mondiale a pour thème «Le temps, le climat et l’air que nous respirons».

(3)30% d’émissions de gaz à effet de serre d’ici 2020, sans nucléaire, c’est possible !
Les fausses solutions que sont l’énergie nucléaire (polluante, dangereuse et proliférante) ou les agrocarburants et les mauvaises orientations comme le « tout autoroute » sont destinées à soutenir un modèle de développement dévastateur. Elles détournent des financements qui devraient être affectés à la promotion des économies d’énergie, de l’efficacité énergétique et des énergies renouvelables !
Pour une véritable justice climatique1, les pays riches doivent s’engager à réduire de 30% leurs émissions de gaz à effet de serre, sans nucléaire, d’ici 2020.
Le 8 décembre, pour la « Journée mondiale du climat », rejoignez les évènements partout pour exiger que les promesses politiques soient enfin tenues !
!- Réclamer la « justice climatique », c’est exiger des pays du Nord, émetteurs de gaz à effet de serre, la reconnaissance d’une dette environnementale envers le Sud, qui pourrait par exemple être soldée par le financement des énergies renouvelables au Sud.

Je conclus donc que la participation à la tournée mondiale du climat devrait parctiquement éter obligatoire pour tous les citoyens qui voudront au moins faire leurs minimums pour leer planéte.
(1)Bibliographie :
Nom de l’auteur : inconnu
Titre de la page : 8 décembre 2007 Journée mondiale du climat
Titre du document : Du local au global,
agissons contre le changement climatique !
Consultation : 25/11/09
Disponible : http://www.rac-f.org/8decembre

(2)Bibliographie :
Nom de l’auteur : L´OMM
Titre de la page : Organisation météorologique mondiale Titre du document : Le temps, le climat et l’air que nous respirons
Consultation : 25/11/09
Disponible : http://www.wmo.int/wmd/index_fr.html

(3)Bibliographie :
Nom de l’auteur : Membres de action conso
Titre de la page : Agir pour la consommation
Titre du document : Journée mondiale du climat
Consultation : 25/11/09
Disponible :

samedi 14 novembre 2009

Voici une video sur la journée sans achat:



Prenez concience et n'achetez pas autant. Faites un geste pour la Terre.

La journée sans achat




Beaucoup de gens pensent que la journée sans achats n’est qu’une perte de temps. Mon opinion n’est pas la même que celle de ces gens car je trouve que cette journée est plus utile qu’embêtante.


(1)La société de consommation est aveugle, il n'y a pas de croissance et développement économique infinis possibles sur une planète dont les ressources sont limitées. Nous extrayons aujourd'hui deux fois trop de ressources fossiles et nous émettons dans l'atmosphère plus de deux fois plus de gaz carbonique que la planète ne peut en absorber. La biodiversité s'effondre. Nous consommons en quelques décennies tout ce que la planète a accumulé en des millions d'années, comme le pétrole ! Et pour mieux "servir" cette société de consommation, 218 millions d'enfants de moins de 15 ans travaillent.

Les choses ne peuvent pas continuer ainsi. Et pour améliorer cette situation on a ‘crée’ la journée sans achat.

(2)Qu'est-ce-que la journée sans achat?

Une journée de 24h (comme beaucoup de journées), pendant laquelle les citoyens sont invités à ne pas consommer directement, c'est à dire à ne pas dépenser d'argent dans des produits de consommation.

Pourquoi une journée sans achat?

Chacun peut avoir ses raisons. Si vous êtes un acheteur compulsif, ça peut être un moyen de vous prouver que vous êtes capable de passer une journée (rien que ça) sans faire chauffer la carte bleue. D'une façon plus générale, l'idée est de prouver que la consommation n'est pas une fin en soi. Si, pendant une journée entière, un pays est capable de se passer de la consommation, alors une véritable réflexion est à mener d'un point de vue politique, sociologique et économique.

L'idée vient des Etats-Unis (eh oui, encore eux) où la frénésie de consommation a atteint des niveaux que l'on est loin d'imaginer en Europe. Il a semblé sain à un certain nombre d'Américains de se passer de la consommation pour revenir, le temps d'une simple journée, à des valeurs peut-être plus humaines. Il ne s'agit pas d'une utopie dans laquelle la consommation serait bannie, certainement pas. Au contraire, il ne s'agit que d'une journée pendant laquelle on prend le temps de réfléchir sur nos habitudes et notre attitude de consommateur.


(3)On a une journée sans achat...
pour l'environnement :
parce que la majeure partie des problèmes environnementaux sont causés par la surconsommation, le transport, le suremballage, les déchets...
pour le juste partage des richesses :
parce que notre voracité à consommer s'appuie sur l'exploitation de populations affamées...
pour des raisons budgétaires :
parce que trop de familles s'endettent et se rendent malheureuses pour maintenir leur rythme effréné de consommation...
pour se simplifier la vie :
car il y a tant de choses plus agréables à faire que de courir les magasins pour chercher des cadeaux inutiles à offrir à des gens qui n'en ont pas vraiment besoin...
pour retrouver d'autres valeurs :
parce qu'il vaut mieux être qu'avoir

En conclusion, la journée mondiale sans achat n'apporte que des bonnes choses, don c on va essayer de la faire toutes les années à partir de maintenant.

(1)Bibliographie :
Nom de l’auteur : Laurence-Aboneobio
Titre de la page : Consommation
Titre du document : Journée sans achat, 29 novembre 2009
Consultation : 12/11/09
Disponible : http://www.aboneobio.com/blog/post/2008/11/25/769-journee-mondiale-sans-achat-29-novembre-2008

(2)Bibliographie :
Nom de l’auteur : T.
Titre de la page : Lueur d’espoir
Titre du document : Journée sans achat 2009
Consultation : 11/11/09
Disponible : http://lueurdespoir.over-blog.net/article-29821853.html

(3)Bibliographie :
Nom de l’auteur : Adbusters
Titre de la page : Journée sans achat 2007
Titre du document : Une journée sans achat
Consultation : 14/11/09
Disponible : http://www.consommateur.qc.ca/union/207.htm

Photo DISPONIBLE SUR:

http://1.bp.blogspot.com/_tch-BdVWsok/Sv7jrHisDnI/AAAAAAAAAGs/YoQY-dMfhPk/s1600-h/journee+sans+achat.jpg

jeudi 12 novembre 2009

L a surconsommation


L a surconsommation est un fait réel. Nous mèmes, les pays du nord, surexploitons le peu qu´on a et la seule façon que nos pays s´enrichissent est une surconsommation excessive. Nous répondons alos bien aux besoins, moi-mème je me déclare une cosommatrice qui n´achéte ps que pour le basique mais pour ce que je crois basique.


La surconsommation désigne un niveau de consommation situé au-dessus de celui des besoins normaux ou d'une consommation moyenne. Au delà d'un certain seuil, la surconsommation est un facteur de surexploitation de ressources naturelles, pas, peu, difficilement, dangereusement ou lentement renouvelables. Quand une de ces ressources épuisée ne peut plus être remplacée par une autre, des besoins vitaux peuvent ne plus
pouvoir être assurés.(1)
Si chaque Chinois consommait autant qu'un Américain ? La Chine absorberait les deux tiers de la production mondiale de céréales. La surface bétonnée pour les routes, autoroutes et parkings nécessaires à son milliard de voitures équivaudrait aux surfaces rizicoles actuelles. Et la consommation de papier représenterait deux fois la production mondiale actuelle, de nombreuses forêts décimées…Mais ce n'est pas la Chine qui est en faute. C'est le modèle de croissance économique occidental, et ce modèle centré sur l'automobile, la consommation et le gaspillage ne peut plus fonctionner.
Le monde a besoin d'un plan B pour adapter son développement économique autrement. Des solutions sont à portée de main : Les fermes éoliennes en Europe, les toits solaires au Japon, la reforestation en Corée du Sud, les moyens de transports non polluants.(2)
Nous pensons que le gaspillage illustre un problème de surconsommation de masse. Que ce problème est étroitement relié au système économique qui régie nos échanges. La suprématie du marché semble être un obstacle à une gestion plus humaine et plus durable des ressources de la Terre. Nous pensons que chaque personne est en mesure d’adopter des comportements qui contribueront à réorienter la société selon de nouvelles priorités respectueuses et saines. Nous espérons emmener individus, commerces, industries et gouvernements à réfléchir et à considérer des façons plus responsables de produire, de distribuer et de consommer.(3) Le temps des fêtes nous a ramené encore une fois cette année son lot de gens bien intentionnés nous incitant à réfléchir aux méfaits de la surconsommation dans nos sociétés avancées. On nous enjoint donc de distinguer l'essentiel du superflu et de nous demander si nous avons vraiment besoin de jeux Nintendo et de planches à neige. N'est-il pas en effet abominable de ruiner la Nature avec tous ces produits de luxe et ces jouets? Pourquoi ne pas nous en tenir aux objets de première nécessité et oublier l'accessoire?(4)


Je conclus sur la nécéssité de frainer notre société de consommation et nos esprits de consommateurs qui doivent arreter de nous tromper et plûtot nous aider a distinguer entre le strictement nécéssaire et les caprices et le superflu. Courage pour noël.

(1)Bibliographie :
Nom de l’auteur : Wikimedia Foundation, Inc
Titre de la page : Wikipedia, l´encyclopedie libre
Titre du document : Surconsommation
Consultation : 12/11/09
Disponible : http://fr.wikipedia.org/wiki/Surconsommation

(2)Bibliographie :
Nom de l’auteur : “Jean”
Nom de la page : Le fil d´Ariane
Titre du document : La surconsommation
Consultation : 12/11/09
Disponible : http://jean.paul.job.free.fr/index.php?rep_c=fil_ariane&fic_c=25

(3)Bibliographie :
Nom de l’auteur :
Titre de la page : La Teresto
L'Être Terre
The Earth Being
Titre du document : Le gaspillage et la surconsommation
Consultation : 12/11/09
Disponible : http://www.lateresto.org/fr/surconsommation


(4)Bibliographie :
Nom de l’auteur : Pierre Desrochers
Titre de la page : Le marché libre
Titre du document : Le bon côté de la surconsommation
Consultation : 12/11/09
Disponible : http://www.quebecoislibre.org/990109-3.htm

Photo DISPONIBLE SUR:http://www.environnementfrance.info/francais/images/surcon2.JPG

vendredi 6 novembre 2009

Voici un exemple de la journée sans voiture



Cette vidéo nous montre la journée sans voiture et l'opinion des personnes normales sur elle ( à Toulouse).

La journée mondiale sans voiture


(1)La journée "En ville, sans ma voiture !" a pour objectif de favoriser la prise de conscience collective de la nécessité d'agir contre les nuisances générées par la croissance du trafic motorisé en milieu urbain. Il ne s'agit pas seulement de lutter contre la pollution atmosphérique ou contre le bruit mais aussi d'améliorer laqualité de vie en ville.
La journée sans voitures existe depuis 1998 et les bilans des dernières années montrent une certaine désafection et un réel désengagement des grandes communautés urbaines :

En France, la 7e édition de la "Journée internationale en ville sans ma voiture" (2004) s'est quelque peu essouflée en France, avec seulement 59 villes participantes mercredi 22 septembre contre 72 en 2003 et 98 en 2002. A Paris, seuls quelques quartiers étaient interdits aux voitures.
Parmi les 58 villes françaises qui ont participé cette année à l'opération figurent Paris, Orléans, Rennes, Narbonne, Poitiers, Lyon, Calais, Mantes-la-Jolie, Amiens, Avignon et Vannes.
OBJECTIFS :
(2)Journée internationale « En ville, sans ma voiture ». Les objectifs principaux sont les suivants :

o encourager les comportements compatibles avec le développement durable et plus particulièrement la protection de la qualité de l'air, la réduction du réchauffement planétaire et de la pollution sonore
o améliorer la sensibilisation des citoyens aux effets de leurs choix de transport sur la qualité de l'environnement
o offrir la possibilité aux citoyens de marcher, faire du vélo, prendre les transports collectifs au lieu d'utiliser seuls leurs véhicules privés et promouvoir l'intermodalité
donner aux gens la possibilité de redécouvrir leur ville ou leur village, leurs concitoyens et leur patrimoine commun dans un environnement plus sain et plus agréable

(3)Donc la journée sans voiture, ça sert vraiment à quelque chose ? Bien sûr que ça sert à quelque chose. Sur un plan qualitatif, il a été démontré que la pollution diminuait de manière significative dans les zones concernées par l’interdiction de circuler…
En revanche, si l’ensemble de l’agglomération n’est pas concernée par l’opération, l’impact sur la qualité de l’air n’est pas visible. Il n’empêche. La journée sans voitures est avant tout une opération de reconquête de la ville par les citoyens désireux de vivre dans un meilleur cadre de vie. Le tout-automobile n’est plus d’actualité. C’est grâce à des opérations de cette envergure que l’on apprendra à vivre notre ville différemment ; redécouvrir le charme et la tranquillité de certains quartiers, expérimenter de nouveaux moyens de transport non polluants et bien mieux adaptés à nos nouveaux modes de vie comme le roller, la trottinette et la légendaire bicyclette.
>> Lors de la journée sans voiture, profitez de cette journée pour porter un regard nouveau sur votre ville et expérimenter de nouveaux moyens de transport non polluants.
>> Incitez votre entourage à respecter la règle et militez auprès de votre municipalité à étendre le périmètre protégé de l’opération.




(1)Bibliographie :
Nom de l’auteur : Michel
Titre de la page : Blog de Michel
Titre du document : Journée mondiale sans voiture, en ce 22 septembre
Consultation : 25/10/09
Disponible : http://michel1948pierre27.blogspot.com/2009/09/journee-mondiale-sans-voiture-en-ce-22.html

(2)Bibliographie :
Nom de l’auteur : La pause de lecture
Nom de la page : La pause de lecture
Titre du document : Journée internationale sans voitures
Consultation : 28/10/09
Disponible : http://www.pause.pquebec.com/sujet/journee-internationale-sans-voitures.htm

(3)Bibliographie :
Nom de l’auteur : Vélove
Titre de la page : Carfree France
Titre du document : La journée sans voiture, ça sert vraiment à quelque chose?
Consultation : 28/10/09
Disponible : http://carfree.free.fr/index.php/2009/09/22/la-journee-sans-voiture-ca-sert-vraiment-a-quelque-chose/
Photo DISPONIBLE SUR:
http://alerte.blog.tdg.ch/archive/2009/09/14/mardi-22-septembre-journee-mondiale-sans-voiture-09.html

Solutions pour les emissions de co2


(2)L’objectif fixé aux constructeurs automobiles par l’Union Européenne peut sembler ambitieux : passer sous la barre des 130 g/km de CO2 émis en moyenne dès 2015. Un objectif ambitieux mais déjà atteint par Fiat au cours du premier semestre 2009. C’est ce que révèle la dernière enquête menée par l’organisme indépendant JATO Dynamics, référence en la matière. Comme Fiat, ils sont deux constructeurs à devancer l’objectif de pas moins de 6 ans ! Smart et Mini sont en effet également passés sous cette barre fatidique des 130 g/km de CO2 émis au cours du premier semestre 2009.(2)
(3)Lancée pour la première fois en 1998 à l'initiative de la France, la journée mondiale sans voiture est fêtée chaque année le 22 septembre.
Elle tend cependant à être remplacée par la semaine européenne de la mobilité,ou "semaine des transports", mise en place en 2007, qui promeut l'utilisation des transports en commun (ticket à 1 € valable toute la journée), et qui se déroule du 16 au 22 septembre.
La journée "En ville, sans ma voiture !" a pour objectif de favoriser la prise de conscience collective de la nécessité d'agir contre les nuisances générées par la croissance du trafic motorisé en milieu urbain.
Il ne s'agit pas seulement de lutter contre la pollution atmosphérique ou les nuisances sonores, mais aussi d'améliorer la qualité de vie en ville : moins d'encombrement, possibilité de se déplacer à pied sans côtoyer les pots d'échappements, se réapproprier l'espace urbain...
C'est également l'occasion de réfléchir aux solutions alternatives à la voiture individuelle, comme les transports en commun, les nouvelles générations de « voitures propres » ou encore des solutions comme le co-voiturage.
Bien évidemment, la marche et le vélo restent les deux solutions à privilégier !
(1)D’autres actions ciblées ont prouvées leur efficacité :
- La réduction des emballages et leur plus grande praticité améliore le coefficient de remplissage des transporteurs et permis ainsi de diminuer le nombre de camions ;
- Les véhicules électriques tels que les tracteurs électriques et chariots de manutention électriques permettent de limiter largement les émissions de CO² (effet accrue s’il y a installation d’éoliennes ou de panneaux photovoltaiques). Innovep a accompagné de nombreux groupes qui ont adopté sans regrets ce type de véhicule plus sûrs et mieux adaptés aux zones de production.
- TMS (Transport Management System) : il permet de planifier, observer et détecter les éventuels défauts et donc d’améliorer l’exécution des opérations – ce qui limite le nombre de retours et de réclamations. Il permet grâce à une analyse précise de mieux organiser les transports et donc de réduire coûts logistiques et rejets de CO2
- Les outils de géolocalisation des véhicules permettent de savoir la position des véhicules en temps réel, d’effectuer des opérations d’optimisation et de mieux appréhender les délais,
- L’étiquetage des marchandises avec des codes barres RFID permet la dématérialisation des procédures administratives et facilitent le suivi des produits…
Autant d’idées parmi tant d’autres qui ont fait leurs preuves et sont actuellement mises en œuvre par de nombreux groupes.

Bibliographie :
Nom de l’auteur : auteurs du site
Titre de la page : GREEN SUPLY CHAIN: L´AVENIR DE LA LOGISTIQUE
Titre du document : Optimiser le transport pour réduire les coûts et les émissions de CO2 !
Consultation : 26/10/09
Disponible :http://logistiqueverte.wordpress.com/2009/07/10/optimiser-le-transport-pour-reduire-les-couts-et-les-emissions-de-co2/
Bibliographie :
Nom de l’auteur : Vincent Royer
Titre de la page : Autosital.com
Titre du document : Fiat en avance sur la réduction des émissions de CO2
Consultation : 26/10/09
Disponible : http://www.autosital.com/Fiat-en-avance-sur-la-reduction.html

Bibliographie :
Nom de l’auteur : auteur du site
Titre de la page : Solidaires du monde
Titre du document : 22 septembre : La journée mondiale sans voiture
Consultation : 26/10/09
Disponible :http://blognotes.solidairesdumonde.org/archive/2009/09/14/22-septembre-la-journee-mondiale-sans-voiture.html

Photo disponible sur:http://evenementssolidarite.solidairesdumonde.org/media/01/01/86107201.jpg

Voici une video sur la faim:



Cette video mérite vraiment être vu jusqu'à la fin. Ça vaut la peine.

La suralimentation, inégalité


Dans beaucoup de pays on craint de ne pas avoir assez à manger et dans nos pays dits civilisés et industrialisés, c'est plus que l'abondance. Au point que l'on parle de réguler l'alimentation à cause de l'obésité observée chez les jeunes. Et comme on copie la façon de vivre des américains, où l'on peut compter un tiers de la population qui est obèse et un autre tiers qui est en surpoids, c'est une bonne chose d'en prendre conscience. Mais par ailleurs, la télé et les pubs pour tous les produits sucrés et hypercaloriques continuent, les enfants regardent tout cela et il y aura du travail pour faire marche arrière. C'est la folie pour les Macdo ce n'est pas pour la qualité des aliments qu'on y consomme que les gens y vont.

Chaque année, le Programme alimentaire mondial dispose d'un peu moins de deux milliards de dollars pour lutter contre la faim. Dans le même temps, l'industrie agroalimentaire dépense 40 milliards de dollars en publicité pour vanter ses produits, principalement dans les pays riches. Et il y a de grandes chances que les proportions soient toujours les mêmes dans le monde de 2050 où la Terre comptera 9 milliards d’habitants.
Et pourtant, la Terre peut nourrir tout le monde. Elle produit assez pour le faire, le problème est l’accessibilité de tous à des produits appropriés.
La malnutrition concerne 840 millions de personnes, dont 600 millions de paysans. Dans le même temps, la suralimentation concerne 500 millions de personnes et ne touche plus seulement les pays industrialisés. L’exportation des modes de vie occidentaux depuis les années 1980 font de l’obésité, du diabète et des maladies cardio-vasculaires des épidémies planétaires.
Parmi les solutions possibles pour réduire la faim, l’aide internationale ne peut être que ponctuelle.

De plus on connait déjà le probléme des agrocarburants…
« Les agrocarburants sont une bombe écologique à retardement. Les choix qui sont faits aujourd’hui pourraient accélérer la déforestation en Amazonie et entraîner, d’ici quelques années, la disparition des dernières forêts tropicales d’Asie du Sud-Est » précise Sylvain Angerand, responsable Forêt aux Amis de la Terre. Ces cultures d’exportations entrent également en concurrence avec les cultures vivrières et menacent la souveraineté alimentaire des pays du Sud : « Dans un monde où des millions de personnes souffrent de malnutrition, la préservation des terres fertiles est un impératif autant écologique que social. Au Mexique, le prix du maïs, traditionnellement destiné à l’alimentation, a déjà augmenté de 40% » insiste Anne Bringault, directrice des Amis de la Terre.
Bibliographie :

Nom de l’auteur boisvert(nom pris par l´auteur en ligne)
Titre de la page : VOTRE SANTE PAR LA NATURE
Titre du document : La suralimentation
Consultation : 14/10/2009
Disponible : http://santenature.over-blog.com/article-16491596.html

Bibliographie:

Nom de l’auteur “ Secours populaire de français”
Titre de la page : dossiers
Titre du document : Un monde équitable peut abolir la faim
Consultation : 14/10/2009
Disponible : http://www.secourspopulaire.fr/dossiers-article.0.html?&cHash=80f8e9e57c&id_article=150&id_dossier=20


Bibliographie:

Nom de l’auteur Les amis de la terre( imprécis)
Titre de la page : Les amis de la terre
Titre du document : Les agrocarburants : solution ou futur problème environnemental?
Consultation : 14/10/2009
Disponible : http://www.amisdelaterre.org/Les-agrocarburants-solution-ou.html

Image disponible sur:http://auriol.free.fr/psychanalyse/a-bouche-que-veux-tu_fichiers/image006.jpg

La faim dans le monde


La sous-alimentation est l'absorption régulièrement insuffisante d'aliments par rapport aux besoins.
Elle peut-être générale et porte sur le niveau énergétique autant que sur les nutriments. Elle peut-être également sélective et porter sur les protéines.
Un état provisoire liés à une maladie grave qui coupe l'appétit ou empêche de manger normalement, ou un trouble psychique comme les psychoses ou encore un comportement particulier et occasionnel comme la grève de la faim n'est pas considéré comme de la sous-alimentation.
Dans le monde, on estime que la sous-alimentation frappe environ 60% de l'humanité de manière chronique ou aiguë.
Les premières victimes sont les enfants car le peu d'aliments disponibles est en priorité donné aux adultes en état de travailler.

La plupart de ces enfants meurent de quelques maladies infectieuses curables, notamment la diarrhée, la pneumonie, le paludisme ou la rougeole. Ils auraient survécu si leurs constitutions physiques et leurs systèmes immunitaires n’avaient pas été affaiblis par la faim et la malnutrition.
Celles-ci sont parmi les principales causes de pauvreté, d’illétrisme, de maladie et de mortalité qui affectent des millions de personnes dans les pays en développement, selon le rapport.
La faim dans le monde est un crime à l’humanité, un attentat contre l’être humain, qui se détruit et souffre par lui-même ! Ce problème majeur, ravageur et destructeur ne devrait plus subsister de nos jours, ni dans les pays développés ou les droits de l’homme sont pourtant si bien défendues (ce qu’on est parfois tenté de se demander), ni dans les pays sous-développés ou en voie de développement ou ces droits sont malheureusement trop souvent erronés.
Les causes cette injustice mondiale, qui représente le principal défi pour l’humanité, sont soient naturelles (conjoncturelles), soit issues de l’homme lui-même (structurelles). Dans ce cas le problème est très complexe et il semble presque impossible de le résoudre complètement (ce à quoi aucun pays n’est encore parvenu). Mais il ne faut pas pour autant baisser les bras, car la passivité est vraiment la dernière chose qui permettrait de le résoudre. Au contraire : il est donc important de lutter contre les inégalités qui existent de nos jours et qui risquent, malgré la mobilisation de nombreuses personnes qui ont pris conscience du problème, de continuer à hanter la planète pendant encore longtemps. C’est pourquoi il faut tous se mobiliser et rester solidaire envers les personnes en difficulté : si chacun fait un peu, le résultat n’en sera pas moins important et on devrait rapidement arriver à de nettes amélioration.
Les solutions sont très nombreuses elles aussi. Il faudrait développer et améliorer l’éducation dans les pays pauvres (notamment une formation plus poussée sur l’agriculture ainsi qu’un enseignement sur une alimentation équilibrée), et informer les enfants dès l’école élémentaire de la gravité de la faim pour ainsi former et apprendre aux plus jeunes âmes ce que subissent des millions d’enfants de leur âge, mais également des hommes et des femmes, dans le monde qui pourraient bien être eux. L’erreur serait de croire qu’envoyer la nourriture excédentaire des pays riches aux pays pauvres est une solution, alors qu’il faudrait plutôt apprendre à ces pays à produire eux-mêmes leur propre nourriture, et ainsi créer un état d’autosuffisance alimentaire, comme l’illustrait si bien ce proverbe chinois. Des réformes au niveau de l’état (meilleure répartition des richesses et de la nourriture) seraient également à prévoir, et ce sont les citoyens, c’est à dire vous et moi, qui doivent les y inciter.
En somme, l’avenir de la faim dans le monde tient dans la volonté de chacun d’entre nous : si l’on ne trouve pas nécessaire d’agir, alors le problème restera entier si ce n’est aggravé ; en revanche, si chacun y met du sien et participe à une lutte sans merci pour un monde plus juste, ne laissant aucune chance aux inégalités, il serait possible d’assister à l’abolition de la faim dans le monde.



Bibliographie:
Nom de l’auteur: Fémininbeauté.com
Titre de la page : Fémininbeauté.com
Titre du document : Sous-alimentation
Consultation : 14/10/09
Disponible : http://www.femininbeaute.com/dietetique/sous_alimentation.html

Bibliographie :
Nom de l’auteur : Notre-planète.info
Nom de la page : Notre-planète.info
Titre du document : Près de 16 500 enfants meurent de faim et malnutrition chaque jour
Consultation : 14/10/09
Disponible :http://www.notre-planete.info/actualites/actu_774_.php

Bibliographie :
Nom de l’auteur : R V web.fr
Nom de la page : R V web.fr
Titre du document : La faim dans le monde (8) : Conclusion
Consultation : 14/10/09
Disponible :http://www.rvweb.fr/index.php?2001/12/14/11-la-faim-dans-le-monde-7

Photo DISPONIBLE SUR: http://www.tdg.ch/files/imagecache/468x312/story/sousal.jpg

Voici une video interressante sur le developpement durable



Ce video est d´une qualité exceptionnelle et mérite être vu et écouté jusqu´a ça fin, peut être il vous inspirera à colaborer.

Le développement durable, c'est quoi?


Le développement durable se définit comme étant un développement qui répond aux besoins du présent sans pour autant compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs.
Par ailleurs, ce concept comporte un ensemble d’exigences. D’une part, la satisfaction des besoins essentiels des communautés humaines présentes et futures se réalise en rapport avec les contraintes démographiques comme l’accès à l’eau, à l’éducation, à la santé, à l’emploi ; la lutte contre la faim ou la malnutrition. D’autre part figure également comme objectif l’amélioration de la qualité de vie, c’est-à-dire un accès plus facile aux soins médicaux, aux services sociaux, à la culture, et donc au bien-être social.
Donc, le développement durable est un concept qui allie les notions de nécessité, droit et devoir.

Ce terme a été défini en 1987 par la Commission mondiale sur le l’environnement et le développement. Plusieurs intellectuels de notre époque ont participé à l’élaboration de cette définition, que l’on peut résumer ainsi : chaque habitant de la Terre a droit à l’utilisation des ressources de la planète, en même temps que le devoir d’en assurer la pérennité pour les générations futures.
Le développement durable est donc un rapport plus rationnel à notre environnement, qui met notamment en avant l’idée de solidarité entre les hommes.
Dans le même temps, on constate que les politiques économiques de la seconde moitié du XXe siècle n’ont guère amélioré la situation des plus pauvres. Les inégalités se sont même creusées, ce qui pose la question de la croissance et du développement.
Popularisé par le Sommet de la Terre de Rio de Janeiro en 1992, le développement durable s’est affirmé comme un concept à la mode. En France, il a acquis une place importante, dont témoignent l’instauration d’un ministère de l’Ecologie et du Développement durable, ainsi que la participation active du président de la République au Sommet de Johannesburg en 2002.
Le développement durable est désormais une préoccupation des Etats, des régions et des communes, il entre aussi dans les stratégies des sociétés industrielles et des acteurs du secteur tertiaire.
La notion est également devenue objet d’enseignement, de l’école primaire au lycée. Les médias s'en sont emparés, les publications sur le sujet sont nombreuses, émanant d’économistes, d’urbanistes, de politistes, de juristes, d’aménageurs ou de géographes.
Le développement durable, qui se veut une nouvelle manière de penser le monde et de le “gérer”, qui tente d’apporter des réponses aux inquiétudes relatives à la planète, renvoie en réalité à de très nombreuses questions. Néanmoins, en dépit du flou conceptuel et politique qui entoure cette notion, en dépit des doutes sur les instruments à adopter pour sa mise en pratique, de la difficulté d’articulation et de définition des échelles pertinentes à sa mise en œuvre, malgré la multitude d’acteurs et la prégnance des conflits qui caractérisent leurs relations, le développement durable a acquis une dimension mondiale dont il est nécessaire de souligner l’intérêt comme les contradictions ».

Bibliographie :
Nom de l’auteur : Le développement durable.org
Titre de la page : Le développement durable
Titre du document :Le développement durable
Consultation : 19/09/09
Disponible : http://www.developpementdurable.org/


Bibliographie :
Nom de l’auteur : La documentation française
Titre de la page : Le développement durable en France
Titre du document : Qu’est-ce que le développement durable
Consultation : 21/09/09
Disponible : http://www.info-commerce-equitable.com/definitions/definitions-developpement-durable.html


Bibliographie :
Nom de l’auteur : Infocomm
Titre de la page : Le développement durable
Titre du document :Définition du développement durable
Consultation : 21/09/09
Disponible : http://www.ladocumentationfrancaise.fr/dossiers/developpement-durable/developpement-durable.shtml


Photo DIPONIBLE SUR: http://lesbeauxsites.typepad.com/.a/6a010535967280970c010537196833970b-320wi